La communication animale pour tous !

La communication animale pour tous !

Non, ce n’est pas un pouvoir particulier ! Encore moins une baguette magique !

La communication animale est une faculté innée de l’humain, naturellement utilisée lorsque nous sommes enfant.

La communication animale et l’adoption

La communication animale et l’adoption

Adopter un animal c’est bien sûr lui offrir une nouvelle vie. Mais il est important de réaliser qu’il garde les stigmates de l’abandon, de sa vie en refuge (souvent perçue comme violente pour eux) et qu’il se retrouve confronté à une montagne de changements.

Pensez à faire une communication animale avec lui, même avant son arrivée : vous pourrez ainsi vous présenter à lui, et même tester vos compatibilités !

Retrouver les animaux perdus avec la communication animale

Retrouver les animaux perdus avec la communication animale

Même si je reste très soucieuse lorsqu’il s’agit d’aborder le sujet de la Communication Animale et les animaux perdus/enfuis/volés, je voulais partager avec vous ce que j’ai vécu avec une jeune chienne ces derniers temps : Prada.
Sa gardienne, qui me fait confiance depuis plus d’un an lorsqu’elle rencontre des soucis avec ses vaches, m’a fait un message vers 22 heures pour m’expliquer que sa chienne avait tout bonnement disparu (situation étrange puisqu’elle restait habituellement toujours collée à l’autre chien de la maisonnée).
Comble de malchance, ce soir-là, il pleuvait à verse et le vent était déchaîné.
Je me suis connectée à Prada, et la première image que j’ai eue d’elle fut la suivante : elle était assise dans un espace tout à fait sec mais obscur, dans la mesure où je pouvais la voir, mais tout était noir autour d’elle. Il y avait au-dessus d’elle comme une forme arrondie (un peu comme dans un four à pain). Je recevais l’information selon laquelle, si je tendais un bras à partir de son corps, il y avait comme à peu près 1 mètre autour d’elle avant qu’elle ne soit bloquée ou qu’elle ne touche quelque chose.
Elle aboyait, mais personne ne semblait l’entendre. Comme si elle était coupée avec l’extérieur.
Aux questions “est-ce que tu as été attrapée par quelqu’un ? ” ou encore “es-tu avec d’autres chiens (de type en refuge/chenil) ?”, j’ai reçu une réponse négative.
Elle était dans un endroit en dur. Pas tombée dans un trou ou sous terre. En revanche, je n’entendais aucun bruit. Il s’agissait semble-t-il d’un endroit bien insonorisé.
Elle m’a ensuite montré de longues planches en bois. Cela m’a fait pensé à des tasseaux. Je la voyais passer et je voyais les tasseaux bouger. Beaucoup d’instabilité et de danger pour elle. Je sentais bien que ce mouvement de planches posait un problème.
Prada n’était semble-t-il pas véritablement bloquée mais c’est ce qu’elle ressentait. C’est comme si elle n’avait pas d’autre solution que de rester là où elle était.
Elle s’est couchée, tout embêtée. Mais pas absolument effrayée. Elle se montrait dans l’attente.
Je lui ai expliqué que les recherches étaient pour le moment suspendues (il n’était pas loin de 23h00), mais qu’on viendrait la chercher dès le lever du jour.
J’ai transmis toutes les données à sa gardienne.
Le lendemain matin, cette dernière m’a envoyé un message pour me donner les dernières nouvelles.
“On vient de la retrouver. Elle était rentrée dans la maison en ruines du bas de la ferme, était montée à l’étage, sur le parquet pourri. Elle avait peur de redescendre avec tous les trous ! Mon mari y est passé hier soir mais ne l’a pas entendue. Elle n’osait pas trop bouger au milieu de ce parquet pourri, surtout avec un gros trou devant l’escalier. Tout collait. Le bois, la partie bâtie car elle était contre le pignon, sous la toiture qui est à environ 1 mètre de haut. Il m’a fallu la porter pour la redescendre. Journée canapé en vue pour Prada. Merci infiniment.”
Il est toujours amusant de voir de quelle manière les animaux nous montrent ce qui les entoure…
En tous les cas, bien contente que cette histoire finisse bien.
Je pense que Prada n’est pas prête de retenter l’aventure dans cette partie de la ferme !

Christelle TRAUTMANN – AMINALL

L’impact fondamental de nos amis les animaux

L’impact fondamental de nos amis les animaux

Au travers des nombreuses communications que j’ai pu faire, je me suis rendu compte à quel point ce langage peut être libérateur. Bien évidemment pour les animaux, en premier lieu, lesquels, en verbalisant ce qui ne va pas, “déposent” leur fardeau et se sentent mieux ensuite : le problème de malpropreté disparaît, les incidents de détérioration deviennent histoire ancienne… Mais libérateur, également, pour les humains qui la demandent. Ces derniers sont en effet très réceptifs à ce que leur disent leurs poilus, plumeux ou écailleux.

Je suis certaine qu’ils pourraient passer des heures sur le divan d’un thérapeute, ou encore écouter les conseils de leurs proches à longueur de soirée que ça n’aurait pas le même impact.

Un jeune homme m’a un jour contactée car sa chienne de deux ans était une “destructrice de premier ordre”. La louloute m’expliqua d’une part qu’elle souffrait de trop être le centre d’attention de son gardien, celui-ci vivant en quelque sorte par procuration : il n’arrêtait pas de lui acheter tapis, friandises, jouets… mais jamais rien pour lui.

Mais ce qui la chagrinait le plus, c’était de voir que son humain persistait dans une relation amoureuse qui n’en était plus une ; et elle ajoutait qu’il restait dans cette situation par manque de courage d’annoncer sa décision à ses propres parents, lesquels appréciaient énormément sa compagne.

Après avoir pris connaissance du contenu de la communication, il me dit alors très sérieusement : “Mon meilleur ami m’a dit plusieurs fois de la quitter… il a raison… mais le fait que ce soit ma chienne qui me le dise, là, c’est différent !


Avez-vous déjà vécu ce genre de situation ? Le message transmis par votre animal a-t-il contribué à certaines prises de décision dans votre vie ?
Christelle TRAUTMANN – AMINALL

Pourquoi votre animal vous choisit ?

Pourquoi votre animal vous choisit ?

Pourquoi un animal choisit-il de venir cheminer à nos côtés ?


Certains répondront à cette question en affirmant que nous sommes les seuls, nous, humains, à décider de la présence d’un animal dans notre vie.
Est-ce si certain ?


De nombreuses personnes n’étant pas vraiment « chat » se sont par exemple retrouvées à en accueillir un au sein de leur famille, lequel est souvent arrivé « par hasard » chez elles pour ne jamais en repartir.
Pourquoi elles ? Et pour quelle raison ?


Loopsy-San, un de nos merveilleux chats, avec nous depuis trois belles années, a décidé de subitement quitter la maison pour s’installer un peu plus loin dans notre rue, le jour où notre voisin et ami a douloureusement perdu sa très vieille chienne aveugle. J’ai voulu comprendre ses motivations : il m’a dit qu’il souhaitait l’aider à guérir de son chagrin ; et qu’il n’était du reste pas inquiet puisque les autres poilus de la maisonnée restaient là pour nous.


Et que dire de cet incroyable étalon, à présent connu dans le monde entier, Peyo ? Fougueux et peu coopératif pour les spectacles auxquels il était destiné, l’empathie et la douceur dont il fait preuve envers les personnes vulnérables ont conduit son dresseur Hassen à fonder l’association Les sabots du cœur pour accompagner des patients, certains jusqu’à leur dernier souffle. Peyo savait-il qu’il ne pouvait aider toutes ces âmes sans Hassen ? Et qu’il lui fallait marcher jusqu’à lui pour pousser cette autre porte, ensemble ?


Je fais partie de ceux qui croient au fait que l’existence est un parcours initiatique, un chemin sur lequel nous progressons, pas après pas, expérimentant de nombreuses expériences et de multiples rencontres, avec pour objectif (inconscient ?) de progresser et nous élever. Et je suis tout autant persuadée que les animaux qui nous accompagnent sont là pour nous aider dans cette démarche.


Qu’en est-il pour vous ? De quelle façon l’animal qui chemine à vos côté participe-t-il à votre évolution ?


Christelle TRAUTMANN – AMINALL

Extrait d’une communication animale : Patchanga

Extrait d’une communication animale : Patchanga

Pour rappel, chaque communication est effectuée sur la base de photos et du nom de l’animal. Rien de plus.

Patchanga est un de ces chevaux qui ont un véritable rôle dans la vie d’un « bipède » (entendez par là un humain ). Un animal n’arrive jamais dans notre vie par hasard et nous fait toujours travailler quelque chose, c’est clair, mais Patchanga, lui, est véritablement un pilier, un roc. Il est associé à quelque chose qui s’est passé dans la vie de Sarah, c’est sûr et certain. Il est arrivé au moment précis où il y a eu un accident ou un souci d’ordre émotionnel très lourd et il a été comme un pilier.

Sarah est très touchée par ce passage du compte-rendu. Elle m’explique que Patchanga est effectivement arrivé dans sa vie lorsqu’elle vivait un événement familial douloureux (je n’entrerai évidemment pas dans les détails) et qu’il l’a vraiment aidé à surmonter cela.

[…]

C’est un cheval qui est assez curieux, s’intéresse aux choses, mais jamais de façon intrusive. Il est vraiment présent, pleinement, dans tout ce qui se fait pour lui mais aussi pour Sarah, toujours très relié à elle. Il va toujours tâcher de lui faire plaisir, sera toujours à son écoute. Il est là pour mieux… la « servir ». C’est le mot qui vient. Il ne le fait absolument pas par besoin de reconnaissance. C’est parce qu’il le fait de bon cœur. Ce cheval a une grande empathie, naturellement.

Sarah valide : c’est un cheval généreux, toujours enclin à faire plaisir.

Il essaie de se mettre à la place de l’autre. Ça se sent aussi à la relation qu’il a avec le fils de Sarah. Il a conscience du fait que le petit garçon est tout petit et qu’il doit se mettre à sa portée, à sa hauteur. Il va toujours être très attentif, très doux, il va faire très attention. Il va aussi lui apprendre des choses. Il a comme un rôle d’enseignant. J’en reviens à ce que j’ai ressenti au début de la communication – le fait qu’il ait été là dans la vie de Sarah par rapport à une certaine problématique – Patchanga est comme un maître d’école. Mais pas en tant que cheval par rapport à son cavalier, mais un enseignant par rapport à la Vie de façon générale.

Sarah confirme que Patchanga est d’une très très grande douceur. Avec son fils de trois ans il fait toujours en sorte de ne pas être brusque, aura chaque fois des gestes très doux, et ce depuis qu’il est tout bébé.

Ma première rencontre avec Patchanga est très calme. Il est broute paisiblement. Ma présence ne le dérange en rien, mais il ne m’accorde pas plus d’importance que ça. Je me présente et lui explique pourquoi je suis là.

[…]

Il me fait comprendre que son activité préférée c’est… manger. Mais mis à part manger ? Il se montre en balade avec Sarah. Il aime le calme du pas sur un chemin ou une petite route déserte, en relation étroite avec elle. En revanche, arrive-t-il à Sarah d’allumer et consulter le téléphone lorsqu’elle est sur son dos ? Parce qu’il n’aime clairement pas ça. Je reçois que ça « coupe » en quelque sorte cette relation privilégiée qu’il ont tous les deux lorsqu’ils partent seuls en ballade. Soit Sarah le fait et il faudrait qu’elle arrête, ou alors il la remercie en quelque sorte parce qu’elle ne le fait justement pas.

Sarah rit au téléphone et me dit qu’il lui arrive justement de le faire souvent : elle papote avec sa copine au téléphone Elle me dit qu’elle va essayer de faire attention.

Qu’est-ce qu’il fait de mieux ? Il me répond « Aider ». Il ajoute à sa manière qu’il est même « fait » pour ça. C’est clairement un cheval qui pourrait œuvrer dans la relation d’aide (type thérapie par le biais du cheval). Il a la sensibilité, la stabilité et la force pour le faire.

Patchanga a conscience de ce qui se passe pour son espèce. Lorsque je lui demande ce qui le rend triste, je reçois de suite l’idée des autres chevaux qui subissent des traitements peu louables, voire barbares. Il reconnaît qu’il a énormément de chance de vivre avec Sarah. Il se dit choyé et aimé. Énormément aimé.

À l’inverse, lorsque je lui demande ce qui le rend heureux, il me montre le petit garçon de Sarah. C’est pour lui un grand bonheur que de passer des moments avec lui. Il aime sentir cette différence de taille entre le petit et lui, et en même temps le sentiment que tout ce qui passe est de la confiance, de la bienveillance… et du bonheur. Ce petit le fait rire par son enthousiasme et sa spontanéité. Il me dit que la spontanéité se perd avec l’âge. Il montre Sarah et ce qui vient comme message est que Sarah, en revanche, a gardé cette spontanéité et c’est ce qu’il adore chez elle.

S’ensuit tout un descriptif de la personnalité de Sarah, les épreuves qu’elle a dû traverser et ce en quoi cela a modifié son caractère et son mode de fonctionnement (ceci reste évidemment confidentiel)

Il ajoute que Sarah est une super maman et qu’elle n’a pas à culpabiliser pour les choses qu’elle estime ne pas faire suffisamment bien.

Sarah l’amuse beaucoup dans le sens où elle est toujours en mouvement. Elle est quelqu’un qui « brasse » beaucoup. Et il aime quand elle rit. Il me dit qu’elle a le rire facile.

[…]

Veut-il me parler de Caramel (l’autre cheval de Sarah) ? Il le sent fragile, de façon générale. Il me dit que c’est un être essoufflé. Il ressent qu’il n’a pas été épargné par la vie. Il y a le mot « déconvenue » qui arrive. Ça n’a rien à voir avec ce qu’il vit avec Sarah. C’est qu’il est encore imprégné par tout ce qu’il a vécu, particulièrement le fait d’avoir été comme « laissé derrière ». C’est quelque chose de très lourd pour lui. Patchanga me dit qu’il va lui falloir du temps pour digérer et évacuer tout ça.

Patchanga me dit que sa vie lui plaît et qu’il n’aimerait rien changer. Tout va bien !

A priori il aime manger les carottes. Par contre il me montre des feuilles blanchâtres. On dirait des endives… il mange des endives ?! Ou vous lui en avez proposé une fois et il n’a pas aimé ?

Sarah se met à rire en me disant qu’elle reçoit le message. En fait, Patchanga ADORE les endives. Ça fait un moment qu’elle ne lui en a pas acheté parce que, n’aimant pas trop cela elle-même, elle n’en prend jamais à la maison. Mais elle promet de remédier à cela

Lorsque je lui demande s’il a envie de quelque chose en particulier, il se montre dans un manège/une carrière en train de faire un beau galop régulier. Je vois un mouvement très linéaire dans le rythme, une belle esthétique et, chaque fois qu’il impacte le sol, c’est très ancré, j’entends un son lourd, assez rond, Sarah sur son dos. J’ai l’impression que c’est le type de travail que l’on retrouve en dressage. Il semble apprécier ce type de travail régulièrement avec Sarah. Je ne vois pas de saut en revanche. Il me dit qu’il n’est pas un cheval de CSO à proprement parler. Il en a fait à une époque, mais cela ne correspond pas à la majeure partie de sa vie. Il avoue que ce n’est pas sa tasse de thé de toute façon. Lui, ce qu’il aime, c’est la relation à l’autre et ce que l’on peut tisser de fort et de vrai avec son « bipède ».

Sarah me dit qu’elle ne fait plus du tout de saut avec lui par choix personnel, mais qu’elle envisage de débuter le dressage. Elle sait qu’il apprécie cette spécialité, mais ne pensait pas qu’il était si demandeur. À présent, rien n’est plus clair pour elle : elle va s’y remettre.

Il apprécie de façon générale les autres chevaux. Par contre, n’y aurait-il pas actuellement, ou n’y aurait-il pas eu par le passé un poney de robe claire avec lequel il se chamaillait de temps en temps, mais jamais de façon bien méchante (d’ailleurs j’entends la phrase « ma petite puce »… peut-être la façon dont il le considère/le considérait ?) Je ressens comme une chamaillerie mais de type jeu

Sarah me confirme que dans le club où se trouvait Patchanga jusqu’à il y a peu (elle a changé de région), il y avait un poney Shetland de couleur crème aux yeux bleus avec lequel Patchanga adorait passait du temps et jouer. Il doit lui manquer…

Il voudrait dire à Sarah de rester telle qu’elle est. Il dit qu’elle est vraiment une belle personne. Il apprécie vraiment le fait qu’elle soit « cash », sans détour. Et il chérit ce grand cœur qu’elle a.

Il me dit ne jamais avoir été maltraité. Il me fait un condensé en images de sa vie et je ressens globalement une grande sérénité. Patchanga est très serein par rapport à tout ce qu’il a pu vivre ou expérimenter dans sa vie (en début de communication il y avait notamment une information selon laquelle le sevrage avait été vraiment fait dans les règles – pas de manque particulier de sa mère).

Les questions posées par Sarah par la suite :

Est-ce que l’écurie lui convient ?

Il me dit que ça va. Il est bien là où il est. Il est clair que les autres chevaux là où il était avant lui manquent un peu (et il me refait voir ce poney clair. Était-ce un poney là-bas qu’il côtoyait régulièrement ? Dans son paddock ou celui d’à côté ?)
Il se montre en tout cas assez serein. Il n’est pas en mode déprimé par rapport à ce changement ou les chevaux qu’il ne voit plus. Il semble aller globalement bien.

Sarah voudrait qu’il soit plus « calme » en balade comme avant, moins dans la précipitation, qu’il apprécie le moment

Il me répond que c’est Sarah qui n’est pas dans l’appréciation du moment présent… (du coup je repense à ce que j’ai reçu en début de communication avec le téléphone portable…) Il me fait passer le message qu’il trépigne par résonnance avec Sarah. Il est « sa continuité ». Il me dit que Sarah doit baisser en pression, qu’en ce moment elle fait trop de choses à la fois, qu’elle est tendue et fatiguée… il ressent l’énergie de Sarah comme électrique. Ils sont tous deux tellement liés que, de fait, il ressent la même chose et réagit de la même manière.

Sarah comprend mieux ce qui se passe. Elle confirme qu’elle est fatiguée, qu’elle tente de gérer beaucoup de soucis, qu’elle et son compagnon n’ont pas trop l’occasion de faire garder le petit, c’est compliqué… elle est donc en mode stress. Elle va tâcher de relâcher la pression.

[…]

Le message que Sarah veut transmettre à Patchanga : Lui dire que même s’il la rend folle elle l’aime “son lardon”

Il veut lui faire comprendre (encore une fois) qu’elle est tellement agitée à essayer d’être au niveau qu’elle attend (et elle n’est jamais contente du niveau atteint, selon lui – ceci dit toujours de façon gentille, sans aucun jugement, mais pour amener Sarah à réfléchir à la question) qu’en fait le tourbillon qu’elle initie se transmet… à lui.

Il faut faire redescendre la pression Sarah !

Christelle TRAUTMANN – AMINALL

 

Comment être bon en communication intuitive ?

Comment être bon en communication intuitive ?

Comment devenir un bon interprète animalier ?
Ahhhh… la bonne question !!
Une question qui va nous demander grande réflexion.


Je dirais que l’élément fondamental pour réussir dans ce domaine est l’amour et le profond respect que nous portons aux animaux. Et à la Vie de manière générale.

Et outre le fait d’aimer les animaux, l’envie de les aider, de leur donner une voix afin qu’ils puissent exprimer tout ce qu’ils ressentent.


Mais qu’est-ce qu’une communication ? Il s’agit de l’émission d’un message, de sa réception et de sa transmission. Il est par conséquent indispensable à la fois de vouloir et d’être capable de communiquer correctement avec les animaux mais aussi leur gardien(ne), ce afin d’aider tout ce petit monde à se comprendre et d’accroître l’harmonie inter-espèces.

Un élément primordial : la Bienveillance


L’amour, la compassion et la bienveillance sont des sentiments primordiaux dans cette pratique, à l’égard de toutes les espèces et individus avec lesquels vous échangez. Si vous sentez en vous une certaine retenue face aux personnes qui viennent à vous pour demander une communication ou portez des jugements à leur encontre, vos propres préjugés et jugements ne vous mèneront qu’à une « communication floutée », un échange en quelque sorte parasité, qui ne sera évidemment pas le bon. Et cela pourra être néfaste pour l’animal et son gardien. Il ne faut jamais oublier que les gens viennent vers vous, voire appellent à l’aide parce qu’ils aiment sincèrement leurs animaux, même si cela n’est pas forcément et directement manifeste dans leur manière d’être ; ou encore ne correspond pas à votre façon d’envisager les relations humain-animal.

Christelle TRAUTMANN – AMINALL

Soin énergétique pour animaux

Soin énergétique pour animaux

Dans l’un de mes précédents posts, j’ai déjà abordé la façon dont les animaux peuvent absorber nos émotions, ressentis et énergies et montrer des signes de stress, ce qui peut même parfois générer chez eux certaines pathologies.

Si vous remarquez les premiers signes de stress chez votre loulou(te) et que vous constatez que c’est probablement lié à vos propres émotions (anxiété, peur, inquiétude, colère…), le plus important est d’abord de vous calmer et de vous détendre.

Respirez

La science a prouvé que la respiration profonde est très efficace pour calmer notre esprit. La façon la plus simple de pratiquer ce type de respiration est de compter pendant que vous respirez. Comptez jusqu’à 6 en inspirant, puis jusqu’à 8 en expirant. À noter qu’il s’agit d’une pratique courante en matière de yoga.
Si vous rencontrez une certaine difficulté, vous pouvez tout à fait compter jusqu’à 4 à l’inspiration et jusqu’à 6 à l’expiration. La clé étant d’expirer plus longuement que d’inspirer.
Faites-le au moins 10 fois d’affilée. Tranquillement.
Voyez de quelle manière cela contribue à retrouver votre calme et comment vos animaux de compagnie réagissent à cela.

Méditez

Il est possible d’atteindre une vibration élevée par le biais de la méditation. D’ailleurs il n’est pas rare de voir notre chien se rapprocher ou encore notre chat venir se mettre sur nos genoux lorsque l’on se met à méditer. Ils sont très sensibles à cette énergie. La méditation est une habitude très saine pour notre propre santé mentale et spirituelle. Alors imaginez ce que cela peut apporter à nos loulous…

Passez à l’action !

Nous sommes tous dotés de capacités de guérison naturelles, que l’on en ait pris conscience ou non. Aujourd’hui, je vais vous apprendre un moyen très simple d’utiliser vos mains pour calmer vos animaux en mode stress.
Tout d’abord, installez-vous avec votre animal dans un endroit calme dans lequel vous ne serez pas dérangés.
Assurez-vous ensuite d’être vous-même dans un état calme et paisible. Respirez donc profondément, calmement.
Frottez vos mains l’une contre l’autre une bonne trentaine de secondes.
Imaginez qu’une lumière bleue ou verte sort de la paume de vos mains. Il s’agit juste d’imaginer. Le bleu et le vert étant des couleurs apaisantes et guérisseuses, toutes les nuances de bleu ou de vert sont bonnes. Pas de pression, donc !
Une fois que vous pouvez imaginer cette lumière sortir de la paume de vos mains, placez-les à quelques centimètres au-dessus de votre animal, voire carrément sur lui (en fonction de la manière dont il réagit).
Imaginez que la lumière remplit peu à peu le corps de votre animal. Tout simplement.
En même temps, dans votre esprit, envoyez-lui des pensées apaisantes et sereines.
La durée ? 10 minutes est l’idéal. Mais tout est bon à prendre !

Et n’oubliez pas ! Faites-vous confiance : vous avez la capacité de guérir. Et vous ne pouvez apporter à votre animal que du positif puisque vous êtes dans l’Amour.

Essayez ces méthodes et n’hésitez pas à partager avec moi votre expérience !

 

Christelle Trautmann – AMINALL

Extrait d’une communication animale : Patchanga

Extrait d’une communication animale : Maitreya

Voici le résumé d’une communication que Valérie accepte de partager avec vous.


Son cheval, Maitreya (Le Bienveillant chez les Bouddhistes), est un loulou très stable qui l’aide dans ses séances d’équithérapie. Cela fait quelques années que je le suis, et il s’est toujours agi d’un cheval calme, gentil et absolument généreux. Une crème.


Seulement voilà : ces jours-ci, il est totalement ingérable ! La pouliche qu’il a été chargé de former pour l’accompagner dans sa mission de développement et d’aide à la personne est partie quelques temps pour être débourrée. Pour lui tenir alors compagnie, sa gardienne a placé avec lui une vieille jument adorable… qu’il ne fait que houspiller, mordre et battre !


Lorsque je me mets à communiquer avec lui, il lance des mots très durs à l’encontre de sa gardienne (qui pourtant fait tout pour ses chevaux), un peu comme lorsque vous n’en pouvez plus dans votre vie et que les mots sortent de votre bouche avec une violence non contenue, mordants.


Il me montre également l’image d’une poche des eaux qui se rompt, et se déversent alors des flots avec une force incroyable, sans que cela ne cesse. Et l’idée du deuil arrive. Très forte. Ce loulou est alors en train de me faire comprendre que le départ de cette pouliche a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, ce vase qui contenait déjà la peine énorme du décès de son ami de toujours, il y a de cela quelques mois. Maitreya a tenu, tenu, et il a fallu un événement de trop pour que ce soit l’explosion.


Je me suis éclipsée après avoir testé et rééquilibré ses chakras (son chakra du cœur a demandé beaucoup, le pauvre loulou), travaillé son ancrage et procédé à une ronde en EFT (techniques de libération émotionnelle).


Je me suis reconnectée à lui deux jours plus tard et c’est un cheval tout à fait calme et apaisé que j’ai retrouvé. Un état validé par sa gardienne.


Imaginez être entouré(e) chaque jour d’une multitude d’individus sans pouvoir leur poser des questions si vous ne comprenez pas ce qu’ils vous demandent de faire, sans pouvoir exprimer vos émotions, partager vos envies, vous épancher ?
C’est ce que vivent malheureusement les animaux face à nous, humains.


Pensez à la communication animale. 

Christelle Trautmann – AMINALL

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